Vendredi 30 septembre 5 30 /09 /Sep 12:06

J’étais à nouveau en stage chez IDOLE…mon 4èmestage pour être précis…IDOLE avait progressé très vite et exerçait désormais sur moi une véritable emprise ! Elle exigeait toujours davantage…et m’imposait toujours plus de douleur et toujours plus d’avilissement…Certes c’est un peu moi qui l’avait « formé » mais elle volait désormais de ses propres ailes, l’élève avait dépassé le maître et elle me faisait désormais payer tous mes atermoiements pour « rattraper le temps perdu » avait-elle coutume de dire !

Elle s’était donné un double objectif à court terme : me dresser en duo avec une amie et m’offrir à un homme…J’avais compris qu’elle comptait tirer partir de ce nouveau stage pour passer à l’acte mais je n’en savais pas plus.

Le stage avait débuté comme de coutume : mise en condition rapide, sévérité extrême, taches domestiques incessantes…pour me briser disait-elle et me rendre plus rapidement docile.

Le 2ème jour elle me demanda de concevoir un caisson en bois étanche surmonté d’une lunette de WC afin de faciliter la pratique du toilet training…Cela était surprenant car elle n’avait jamais manifesté l’envie d’avoir recours à ce genre d’accessoire préférant utiliser directement ma bouche. Elle me conduisit chez Castorama afin que je puisse fabriquer l’accessoire le jour même. Le fond était constitué d’une cuvette afin de récupérer tout ce qui n’aurait pas été avalé…et finir le travail ! Evidemment le soir même elle l’essaya et je dus à l’issue de la séance boire le contenu de la cuvette…

Le lendemain en fin de matinée alors que j’étais occupé à nettoyer les joints du carrelage du salon avec une brosse à dent et du savon elle entra dans la pièce, habillée, visiblement prête à partir en ville…Elle portait un legging brillant, son pull Idole, ses escarpins JB martin et un manteau en simili cuir bleu clair :

 

-  Au pied étron

 

Je la rejoins à 4 pattes puisque je n’avais pas le droit de me déplacer autrement en sa présence. Elle accrocha une laisse à mon collier et traversa le salon pour m’emmener sous l’escalier. C’est en effet dans ce réduit qu’elle me consignait en son absence : nu bien sûr, à genou, mon collier accroché aux étagères en bois où elle range ses chaussures, mes mains attachés dans le dos et une cagoule sur la tête…elle avait décrété que l’attendre devait être douloureux et angoissant !

 

- A tout à l’heure pour une grosse surprise petite merde dit-elle en frappant la pointe de son escarpin sur ma cage de chasteté

 

Elle éteignit la lumière, ferma la porte du réduit à double tour et quitta la maison…Comme à chaque fois que je me retrouvais dans cette situation je guettais le moindre bruit signalant son retour, je parvenais à m’assoir mais j’avais intérêt à être à genou quand elle arrivait si je ne voulais pas être très durement puni ! En plus si elle découvrait ma tricherie il lui suffirait d’accrocher le collier une étagère plus haut pour m’obliger à rester à genou.

 

Après au moins 2h00 d’attente j’entendis la voiture arriver. Je me remis à genou rapidement mais fit tomber quelque chose, sans doute des chaussures, sur le sol…Une clé dans la porte d’entrée, des bruits de talon sur le carrelage de l’entrée…et soudain 2 voix ! Celles d’IDOLE et de sa fille Sophia ! Je les entendais bavarder sans pouvoir deviner de quoi elles parlaient…Soudain les voix s’approchent…J’entends le bruit des talons dans le grand couloir…Elles ne parlent plus. Je retiens mon souffle. La clé s’enfonce dans la serrure et j’entends IDOLE dire :

 

 Tu es prête ? Je vais te montrer ça, tu ne vas pas en revenir !

 

La porte s’ouvre, la lumière s’allume.

 

- Non ! s’écrit Sophia, mais c’est dan, que fait-il ici celui-là ?

- Mais Laura est au courant

- Quand tu m’as parlé d’un esclave j’étais loin d’imaginer de le retrouver là !

-  Le fait est qu’il est tout de suite moins arrogant…

- Mais pourquoi ?

-  Waow…c’est dingue ! Je ne réalise pas !

- C’est quoi ces chaussures par terre étron ?

- Ah oui ? Elles sont tombées toute seules ?

-  Je suis certaine que tu les as fait tomber en changeant de position, en avais-tu le droit ?

- Silence ! Tu mérites une bonne correction, cela va montrer à Sophia ce que tu es

 

IDOLE sort du réduit et monte à l’étage. Sophia est plantée devant la porte et me regarde en silence avec un sourire tout à la fois triomphateur et embarrassé. Elle me fixe, je la regarde dans les yeux. IDOLE revient avec 2 badines en bois, je baisse immédiatement les yeux.

 

- Ah vraiment ? Non c’est inacceptable

 

Elle se penche vers moi et me crache sur la figure

 

- Oui IDOLE

-  Continue à couiner comme un cochon, cela m’excite et me donne encore plus de force

 

Les coups continuent à pleuvoir…Elle s’arrête enfin…Je voudrais m’écrouler sur le sol mais mon collier me tient contre l’étagère.

 

- Je ne sais pas si je vais savoir ?

- Tu devrais lui cracher dessus d’abord pour lui dire bonjour

 

Sophia s’approche :

 

- Regarde-moi dit-elle

 

Je lève la tête. Elle me gifle violemment. Une fois, puis deux, trois, quatre fois…

 

- Ne t’avise plus de ne pas baisser les yeux en ma présence. Compris ?

-  Quand tu t’adresseras à moi ce sera MADAME. Compris ?

-  Passe-moi ta badine Maman

-  Mais j’en ai préparé une rien que pour toi !


Sophia fait un pas en arrière et commence à frapper…Rien à voir avec IDOLE…Ses coups ne font presque pas mal, je donne le change en me tortillant mais IDOLE n’est pas dupe :

 

Il simule, il se moque de toi ! frappe plus fort !


 Sophia délaisse la badine et recommence à me gifler en me fixant dans les yeux. Son regard s’illumine, je sens soudain la flamme de la domination monter en elle ! Elle s’arrête enfin…et crache sur mon visage.

 

-  Tu peux baisser les yeux maintenant grosse merde !

Et bien les présentations sont faites commente IDOLE en riant


Sophia sort du réduit. IDOLE s’approche, décroche mon collier, détache mes mains :

 

-  Sors d’ici, mets ton tablier et sers nous un thé au salon.

Par dogdany
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Vendredi 1 janvier 5 01 /01 /Jan 05:52

J’étais donc attaché dans le garage…Le dos meurtri par une authentique séance de fouet ! Je n’avais aucune idée de l’heure qu’il pouvait être. Soudain j’entendis une voiture arriver dans la cour. Un bruit de portière, des pas, la porte d’entrée qui s’ouvre…ses pas dans le grand couloir…la clef dans la serrure de la porte de communication avec le garage :

 

-        Tu es déçu hein ? Tu pensais que j’allais revenir avec mon amie et que nous allions jouer tous les 3 ? J’en suis certaine espèce de porc, n’est-ce pas ?

-        Non Madame

-        Tu n’es qu’un sale menteur, tu n’assumes même pas ta perversion…Je vais te mettre cela dans le crâne.

 altijdgedroomd1186213109-1-.jpg


Je l’entendis reculer et soudain le fouet s’abattit sur moi.

 

-        Je m’entraînerai au maniement du fouet 3 fois par jour…sans compter les punitions dont tu écoperas bien sur ! N’oublie pas de compter à haute et intelligible voie.

 

Oh oui je comptais ! Elle visait plus bas : le bas de mon dos, mes fesses, les cuisses…Quelle douleur…Mais je serrais les dents. Elle s’arrêta à 20 coups et détacha mes mains. Je me laissais tomber sur le sol a genou. Elle me saisit par les cheveux et tout en tenant ma tête me colla une violente paire de gifles :

 

-        Tu es déjà fatigue ? alors que nous n’avons même pas passe une heure ensemble ?

-        Non Madame, juste ankylosé par la position.

-        Elle ne te plait pas cette position…Très bien nous en changerons pour une encore plus inconfortable ! Reste torse nu et suis moi j’ai besoin d’aller aux toilettes.


altijdgedroomd1186213165-1-.jpg

Je lui emboîtais le pas, torse nu, tout juste vêtu de mon pantalon rayé de bagnard ! Elle ouvrit la porte des toilettes, me montra du doigt le saladier qu’elle avait utilisé lors de notre premier face a face :

 

-        Tu reconnais ton auge pourceau ? J’ai pense que cela te ferait plaisir de la retrouver ! Allonge-toi sur le sol face contre terre.

 

Elle baissa son pantalon, posa ses pieds sur mon dos encore meurtri et tout en frottant ses semelles sur mes blessures urina bruyamment dans le saladier. Elle se releva et monta sur mon dos de tout son poids pour se rhabiller :

 

-        Redresse-toi, mets-toi a genou, prends le saladier et bois…Terminé l’entonnoir, c’était trop facile ! Exécution…


altijdgedroomd1186201540-1-.jpg

Je me mis en position, pris le saladier a 2 mains et le porta a mes lèvres…Effectivement c’était plus dur ! La quantité était impressionnante…Je bus toute son urine jusqu'à la dernière goutte !

 

-        Pas mal ma petite chiotte, pas mal…suis moi.

 

Elle monta l’escalier et entra dans sa chambre :

 

-        Mets toi a quatre pattes, j’ai besoin d’un siège pour lire mes mails et faire quelques courses sur le net.

 

Elle s’assit sur mon dos. Elle portait un jean et le contact avec ma peau zèbre par les coups de fouet était douloureux. Elle le comprit et sans dire un mot se mit à bouger régulièrement en frottant ses fesses sur mon dos. Je finis par gémir :

 

-        Silence tabouret…nous réglerons cela tout à l’heure !


altijdgedroomd1186303138[1]

Elle resta ainsi pendant plus d’une heure. Elle n’était pas spécialement lourde mais je fatiguais ! Elle finit par éteindre son PC et se leva :

 

-        Alors comme cela me servir de siège n’est pas agréable ? Vas-tu comprendre que je ne veux pas t’entendre ? Tu n’es qu’une chose qui ne doit émettre aucun son…Tu n’apprends pas vite mais je suis une éducatrice patiente ! Regarde la moquette.

 

Je vis ses pieds faire le tour pour se place sur mon flanc…et comme je m’y attendais elle m’assena un coup de pied dans l’abdomen. Je fis le maximum pour ne pas manifester ma douleur mais au deuxième coup de pied je ne pus retenir un râle très sonore…

 

-        Très bien je voulais te donner une chance mais tu n’en es pas digne. Ecarte les jambes.

 

Je savais ce que cela signifiait…Je savais aussi qu’elle adorait ça ! Je l’entendis se déplacer et je reçus la pointe de ses mocassins dans les parties, une première fois, puis deux, trois et quatre fois. J’avais contenu mon envie d’hurler.

 

-        C’est mieux…

 

Elle recommença par surprise et je lâchais un cri de douleur en tombant sur le sol.

 

-        Je ne suis pas satisfaite.


altijdgedroomd1186303799[1]
 

Je l’entendis ouvrir un placard puis je la sentis revenir.

 

-        Mets toi sur le dos et regarde moi dans les yeux

 

Elle tenait une baguette en bambou à la main. Elle s’assit sur mes cuisses et immédiatement se mit à cingler mon torse. Je tentais de me protéger.

 

-        Enlève tes mains ! Si j’ai à te le redire ce sera le fouet et vu l’état de ton dos tu devrais y réfléchir…

 

Je mis mes mains sous mon corps et je serrais les dents comme un fou. Elle se leva. Je crus que le supplice était terminé ! Elle revint presque aussitôt et me fourra une culotte sale dans la bouche :

 

-        Vas-y serre les dents ! Et n’oublie pas de me regarder dans les yeux.

 

Et elle reprit de plus belle. Ses yeux brillaient de puissance. Son visage était illuminé d’une espèce de sourire particulièrement sévère. Il est clair qu’elle prenait son pied. Quand elle cessa de frapper elle resta un instant dans cette position à me fixer comme dans un état second. Puis elle se leva :

 

-        Je vais préparer mon dîner. Tu descends mettre mon couvert et tu m’attends allongé sur le ventre devant la cuisinière. J’arrive.


altijdgedroomd1186303140[1] 


Je rejoins la cuisine et suivis ses instructions. Je l’entendis descendre. Elle entra dans la cuisine, sortit des choses du réfrigérateur et monta sur mon dos pour réchauffer son repas. Quand elle descendit de son nouveau paillasson elle m’ordonna de m’allonger sous la table, sur le dos cette fois, et elle passa son repas à frotter durement les marques de bambou avec la semelle de ses mocassins.

 

-        Débarrasse et range tout dit-elle en se levant puis rejoins moi au salon.

 

Je l’entendis allumer la TV. J’étais mort de faim mais il n’y avait aucun reste à chaparder ! Lorsque j’en eus terminé je la rejoins au salon. Elle se leva, retira un de ses mocassins et le posa sur le canapé :

 

-        Allonge toi sur le ventre le nez et la bouche dans ma chaussure. Tu vas adorer, j’en suis certaine mais il te faudra payer le prix !

 

Je posais ma bouche et mon nez dans le mocassin moite. Une odeur fantastique m’envahit les narines. C’était grisant…C’est a peine si je remarquais qu’elle venait de s’asseoir sur ma tête pour mieux m’enfouir dans sa chaussure. Mais le frottement de son jean sur mes coups de fouet me le rappela. Je ne pouvais plus respirer que l’air a l’intérieur de ces chaussures et cela devint vite étouffant ! Je ne pus m’empêcher de sortir ma langue pour découvrir le goût sale du cuir de ses semelles. De temps en temps elle se décalait pour me laisser respirer un peu. Au bout d’un long moment elle changea le mocassin en me donnant celui qu’elle venait de retirer.


altijdgedroomd1186303139[2] 


Je l’entendis éteindre la télévision. Elle se leva :

 

-        Mets toi a genou devant moi…c’est l’heure de ton repas ! Tu vas bouffer toute la crasse à l’intérieur de mes chaussures comme je t’ai si bien vu le faire la dernière fois. Celles-ci sont bien plus sales !


mdsc04885.jpg 


Je léchais l’intérieur pour ramollir les gros paquets de crasse noirâtre, puis les grattait avec l’ongle avant des les manger. Elle me regardait faire sans un mot. Quand je crus avoir bien nettoyer la semelle je lui pressentais. Elle me gifla aussitôt :

 

-        Je ne t’ai rien demande connasse. Continue !

 

Alors je repris mon travail…Enfin elle se leva :

 

-        File dans le garage !

 

Elle me rejoint :

 

-        Allonge toi sur le sol face contre terre à cet endroit dit-elle en désignant la place en face d’un anneau fixe au mur au ras du sol.

 

Elle me lia les 2 mains à cet anneau et s’éloigna. Soudain le fouet se fit entendre et les coups se mirent à pleuvoir ! Un puis deux puis trois…je n’osais pas compter car elle ne me l’avait pas demandé…quatre, cinq, six…Je me tordais comme un ver sur le sol du garage et bien sur je gémissais de plus en plus fort. Apres 10 coups elle s’interrompit :

 

-        As-tu aime mes mocassins petite merde ?

-        Oui Madame,

-        Quelle est ma pointure a ton avis ?

-        37 je crois ?

-        Non 38…alors mets toi a compté grande buse !

 

Et je dus compter les 38 coups de fouet. Plus je me tortillais plus elle semblait frapper fort…Je ne sentais plus mon dos…La lanière du fouet s’enroulait autour de mon corps et venait blesser mes cotes. Elle s’arrêta net et sans un mot quitta le garage en éteignant la lumière. J’avais faim, j’avais mal…Je guettais son retour mais il n’y avait plus de bruit dans la maison et je finis par m’endormir…enfin façon de parler.

 

Soudain je fus réveillé en sursaut par une douleur épouvantable. Elle venait de rentrer dans le garage et sans allumer la lumière m’avait donne un coup de fouet dans le dos. J’avais pousse un tel hurlement qu’elle alluma et se jeta sur moi. Elle me tourna la tête et me donna une paire de gifles :

 

-        Vas-tu arrêter de beugler !

-        Oui Madame

 

Elle détacha mes mains de l’anneau mais les garda attachées entre elles. Je dus me lever et elle me tira vers l’étage. Elle ouvrit la porte des WC sans allumer la lumière et me fit mettre a genou en lui tournant le dos. J’entendis le flot d’urine interminable dans le saladier. Elle tira la corde et m’attacha au WC a genou devant le saladier :

 

-        Tu te débrouilles comme tu veux mais il doit être vide demain matin…Tu n’as qu’a laper petite chienne !

 

cp5147

Elle sortit en éteignant la lumière. Je me mis donc à boire dans le saladier. Au début cela fut facile mais a la fin il me fallait aspirer du bout des lèvres sans parler du fait que son urine extrêmement amère était désormais froide…Je ne parvins pas a m’endormir. La position était beaucoup trop inconfortable. Ma tête était posée sur le bord de la cuve

 

Peu après l’aube je l’entendis descendre les escaliers. Visiblement elle prenait son petit déjeuner dans la cuisine. J’étais épuisé, j’avais mal partout, j’avais faim et terriblement envie d’uriner ! Ses pas résonnèrent dans l’escalier, elle ouvrit la porte et sans un mot me détacha…je redressais la tête et elle se tourna vers moi pour me coller une violente paire de gifles :

 

-        Et la politesse ? Tu ne me dis pas bonjour ?

-        Désole Madame, je ne savais pas…je fus interrompu par une nouvelle paire de gifles

-        Tu ne savais pas qu’il fallait être poli avec moi ? Allez suis-moi.

 

Elle me conduisit au garage et m’attacha avec un collier et une laisse au mur. Puis elle libera mes mains. J’eus même le droit de m’asseoir !

 

-        Je t’apporte ton petit déjeuner dit-elle avec le sourire

 

Enfin une pause ? Je n’osais y croire. Je fus surpris de l’entendre remonter l’escalier mais j’attendais. Au bout de quelques minutes elle redescendit et revint dans le garage le saladier à la main. Elle le posa devant moi sur le sol :

 

-        Voila ton repas ! Mange !

 

22gastfreundlich.jpeg

Dans le saladier il y a avait 3 tranches de pain flottant dans l’urine et surtout 2 entrons de bonne taille. Je pris le saladier à 2 mains et bus l’urine. Elle ne me quittait pas des yeux. Elle s’approcha et j’eus un geste défensif pour protéger mon visage imaginant qu’elle allait me gifler. Elle rit aux éclats et me tendit une cuillère a soupe. En silence mais avec des hauts de le cœur je dégustais ses 2 entrons puis je finis par le pain imbibe d’urine.

 

-        Bien dit-elle mais tu es vraiment un immonde cochon !

-        Madame ?

-        Oui ?

-        Je dois absolument uriner.

-        D’accord dit-elle en poussant le saladier avec son pied. Mets toi a 4 pattes et urine dans le saladier comme une chienne. Naturellement je ne t’enlève pas ta cage.

 

Je baissai mon pantalon et pissais à 4 pattes tant bien que mal. Je remplis le saladier ! Quel soulagement !

 

-        Pousse toi ordonna-t-elle et colle toi contre le mur

 

Elle ramassa le saladier et m’aspergea de son contenu encore tiède puis elle attrapa le tuyau d’arrosage pour me doucher comme elle l’avait fait la veille :

 

-        Cela t’apprendra à faire la fine bouche quand je te donne à manger et puis de toute facon c’était l’heure de ta douche connasse !


hat04 


La deuxième journée de stage commençait…

Par dogdany
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mercredi 30 décembre 3 30 /12 /Déc 13:17

J’ai déjà eu l’occasion d’expliquer comment j’avais trouvé ma vraie place aux pieds de Maîtresse Laura et comment elle avait plus tard révélé ma condition a sa mère…afin de lui démontrer qu’elle avait le pouvoir d’avoir un homme totalement à sa botte…

 

Un mois s’était écoulé depuis ce fameux week-end chez les parents de Laura…Week-end au cours duquel j’avais découvert le sadisme de ma belle-mère Odile. Ce samedi là Laura devait partir une semaine avec les enfants chez sa sœur dans le sud-est. J’avais compris que ses parents la rejoindraient là-bas. Elle m’avait ordonné de poser 2 jours de conges le lundi et le mardi sans me donner aucune explication et je pensais qu’elle allait me demander de l’accompagner. Le vendredi  soir elle m’annonça qu’après que je les ai déposé à la gare de Lyon je devais filer en Bretagne ou sa mère m’attendait !  Je devrais rester là-bas pendant 72 heures et elle me présenta ce séjour comme un stage de re-éducation :

 

-        J’ai beaucoup parle avec Maman depuis notre dernier week-end chez eux…Elle m’a convaincu de lui confier ton dressage. Elle m’a dit des choses très vraies sur le manque d’authenticité de ta soumission…Et puis je n’ai pas vraiment le temps en ce moment de m’occuper de toi. Alors tu me sers, elle te dresse ! Bon deal n’est-ce pas ? Bien entendu elle a posé quelques conditions et je les ai acceptées…mais elle t’expliquera tout cela.

 

Ma surprise fut totale et je repensais bien entendu à la dureté du traitement que m’avait inflige Odile lors de notre premier tête a tête…


elricnec1186127492

Maîtresse Laura m’ordonna de me préparer pour mon « service sofa » sur le canapé. Elle ne tarda pas à revenir téléphone en main et s’assit de tout son poids sur mon visage, enfoui ainsi dans ses fesses moulées dans son pantalon en skaï marron. Je compris bien vite qu’elle appelait sa mère et je tentais de saisir le sens de leur conversation :

 

-        Bonsoir maman, c’est Laura…Très bien merci. Oui je pense qu’il sera chez toi vers midi. Très bien, ne t’inquiète pas il sera là…Il ne le dit pas mais je suis certaine qu’il est très impatient ajouta-t-elle en éclatant de rire…Comment ? J’espère bien qu’il va me regretter ! Je te fais confiance pour l’en convaincre…Je sais oui ! Oui Maman je suis d’accord et j’ai préparé ce que tu m’as demandé…Mais oui…tu as bien entendu carte blanche…J’ai négligé son dressage récemment alors il y a du boulot ! Ne te pose pas de question et surtout amuse toi !...Parfait…N’hésite pas à m’appeler en cas de problème. Je t’embrasse.

 

Maîtresse Laura se leva :

 

-        Elle t’attend demain a midi et je conseille d’être à l’heure. Tu la connais maintenant !

 

Le samedi matin je déposais toute la famille à la gare. Maîtresse Laura m’avait installé ma cage de chasteté qu’elle avait cadenassée. Elle m’avait également confié un sac de voyage noir a remettre a sa mère. Il était verrouillé par un cadenas a numéros. Que diable pouvait-il bien contenir ? En tous cas il n’était pas lourd…J’avais reçu l’ordre de partir sans aucune affaire personnelle.

 

elricnec1186127419-copie-1

Je pris le périphérique puis l’autoroute. Je n’avais guère de marge et je n’avais pas envie d’être en retard…A 12h20 je franchissais le portail de la propriété de mes beaux-parents…et j’étais certain que ces 20 minutes allaient me coûter cher ! La voiture de ma belle-mère était garée dans la cour et je me garais donc a cote. Elle sortit pour m’accueillir :

 

-        Bonjour Odile, dis-je sobrement,

-        Bonjour répondit-elle sèchement, donne-moi le sac que t’a confie Laura, ferme ta voiture et rentre dans le garage.

-        Bien Madame

 

Je remarquais immédiatement qu’un coté du garage avait été rangé ou plutôt débarrassé…Elle arriva juste derrière moi :

 

-        Déshabille toi entièrement et mets toutes tes affaires dans ce cas ordonna-t-elle en me tendant le fameux sac de voyage vide

 

J’étais nu devant elle pour la seconde fois…et j’en étais toujours aussi gêné ! Elle semblait indifférente à la situation :

 

-        File dans la salle de bain des filles chercher le tapis de bain

 

La « salle de bain des filles » c’est ainsi qu’on appelait la salle d’eau du premier étage réservée aux filles de la famille. Je redescendis rapidement avec le tapis de bain en question. Elle m’attendait dans le garage :

 

-        Ce sera ta serviette pendant tout le stage…c’est ce que j’ai trouvé de plus dégueulasse dans cette maison. Il n’est jamais lavé ! Et tu prendras tes douches ici même dans le garage

-        Comment cela Madame répondis-je machinalement ?

-        Tu vas comprendre petit merdeux. Mets-toi accroupi dans le coin là-bas. Allez !

 

Elle saisit le tuyau d’arrosage, ouvrit l’eau et se mit à m’asperger d’eau froide sous pression. Je me mis à hurler.

 

-        Aggrave ton cas ! Vas-y ironisa-t-elle en me lançant un vieux bout de savon de Marseille…Allez frotte bien partout, fais-moi disparaître cette odeur de parfum…je ne supporte pas ton deo connasse.

 

Elle me rinça tout aussi vigoureusement.


altijdgedroomd1185729648
 

-        Et bien essuie-toi a présent avec ta belle serviette préparée par les pieds de mes filles !

 

Elle se dirigea a l’autre bout du garage et revint avec une espèce de pyjama rayé…Le modèle du type bagnard ou même déporté !

 

-        Mets ta tenue de stagiaire…Je me suis dit que tu serais plus dans l’ambiance d’un camp de rééducation habillé comme cela dit-elle en riant. Qu’en dis-tu ?

-        C’est très bien Madame

-        Alors a quatre pattes devant moi que je t’explique les règles de ces trois jours. Ecoute moi bien car je ne répéterai pas. Tu es prêt ?

-        Oui Madame

-        Tu es ici pour être rééduquer ou plutôt pour commencer ta rééducation. Je crois, moi, que tu es un soumis de pacotille, un joueur pervers. Tu n’assumes pas ta vraie nature et tu n’es jamais allé au bout de tes envies. J’ai beaucoup discuté avec Laura, j’ai lu ton site internet…tu parles de suprématie féminine, tu te dis cérébral…très bien je vais t’apprendre la vraie obéissance, la vraie abnégation…pas celle qui t’amuse ou qui répond a tes besoins sexuels…Oh bien entendu tu es aux services de Laura et elle fait de toi ce qu’elle veut mais en échange elle te donne ce dont tu as envies ! Ce ne sera pas mon cas sois-en convaincu ! En outre il n’y a rien de sexuel dans notre relation et je te punirai violemment quand je constaterai que tu es excite. Ne t’attends pas non plus a avoir le privilège d’un contact physique avec mon corps ou même a me voir nu…Je sais que tu rêves de mes pieds mais il faudra vraiment les mériter. Mon objectif est de te briser, c’est clair ?

-        Oui Madame, très clair.

-        Je vais également t’utiliser comme WC mais pas comme tu l’entends ou comme tu l’aimes…à ma façon…sans chichi…pour de bon ! Pas pour t’exciter pendant que tu te tripotes mais pour te faire aimer mes excréments ! C’est toujours clair ?

-        Oui Madame.

-        Bien. Tu as intérêt à filer droit. Je ne veux pas t’entendre protester ou discuter mes ordres. D’ailleurs je ne veux pas t’entendre du tout ! Je ne suis pas là pour te faire la conversation. Alors à moins que je te l’ais expressément demandé tu te tais. Pour le reste j’ordonne, tu obéis. Point. Ce n’est pas plus compliqué que cela : silence et obéissance…qui riment d’ailleurs avec endurance ! Nous n’en reparlerons pas ! Nul besoin de fixer d’autres règles car j’ai tout simplement l’intention d’être injuste…sans aucune retenue ! C’est bien ce que tu aimes n’est-ce pas ?

-        Oui Madame.

-        Je ne crois pas qu’on t’ait déjà parlé de la sorte dans ce que tu appelles ta carrière de soumis ?

-        En effet Madame c’est la première fois.

-        Dommage pour toi mais il n’est jamais trop tard pour apprendre et je prends très a cœur ce rôle d’éducatrice ! Et pour fêter ton premier stage je vais t’offrir une autre première. Debout, face au mur dit-elle en indiquant un emplacement précis du garage.


aalex as1180767684

Elle vint derrière moi et m’attacha les bras en croix avec de la cordelette a des anneaux visiblement fraîchement poses. Elle sortit du garage. J’entendis ses pas dans le couloir de l’entrée puis un bruit de sac en plastique. Elle revint.

 

-        Sais-tu ce que je me suis acheté rien que pour toi ?

-        Non Madame.

-        Un authentique bull-whip…tu sais ces fouets a lanière unique qu’on voit dans les bons westerns ! Je suis sur que tu vas adorer…Combien de minutes de retard avais-tu aujourd’hui a ton avis ?

-        20 minutes Madame.

-        Es-tu certain ?

-        Oui Madame.

-        J’en ai compté 30 et tu vas compter 30 coups de fouet !

 

Elle rata son premier coup mais pas le second. Le bruit caractéristique du fouet se fit entendre dans le garage suivi par une intense brûlure dans mon dos. Une douleur indescriptible, une sorte de déchirure…Je me mis a compter a voix haute :

 

-        Un,

-        Un Madame si cela ne te dérange pas…on recommence a 0

-        Un Madame

 

Les coups se succédaient. Elle affinait son geste et je comptais ! La douleur devint insupportable. Je me mis à pleurer au 13eme coup.

 

-        Combien as-tu dit ? Je n’entends rien parce que tu couines encore comme une chienne…Tant pis pour toi on recommence a 0.

 

Je reçus donc 44 coups de fouet...de l’authentique…du cinglant…du réel !

 

-        Ton dos est superbe dit-elle avec fierté…mais je dois encore m’entraîner car je ne maîtrise pas totalement ce superbe accessoire. Ecarte tes jambes !

 

Je savais ce qu’elle allait faire mais je n’avais aucun choix. A peine avais-je écarte les jambes que je reçus un coup de pied dans les parties génitales. Je voulus m’écrouler tant la douleur était intense mais mes bras attaches au mur me maintenaient en position debout.

elricnec1186127100

-        Bon je file car je déjeune en ville avec une amie. Tu restes ici et tu m’attends.

 

Elle ferma la porte du garage a clé et je l’entendis partir en voiture. Je ne sentais plus mon dos. J’avais terriblement mal au sexe. Mes bras commençaient a me faire mal tant la position était inconfortable. Et j’étais arrivé il n’y a même pas une heure ! Le stage devait durer 3 jours…

Par dogdany
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mardi 29 décembre 2 29 /12 /Déc 13:07

 

 

 

Odile quitta la maison en voiture me laissant tout à la fois fort embarrassé par cette situation mais, je l’avoue, terriblement excité. Quel soumis n’a jamais rêvé de servir la mère et la fille ?

 

Comme elle me l’avait ordonne, je débarrassais, rangeais et nettoyais la cuisine. La connaissant je savais qu’elle ne manquerait pas de faire une inspection approfondie en rentrant ! Elle m’avait interdit de manger et pourtant qu’est-ce que j’avais faim ! J’ouvris le frigo et pris une danette ne pouvant imaginer qu’elle les avait comptées ! Je pris soin de cacher le pot vide dans la poubelle extérieure puis je rejoins ma chambre ou un paquet de biscuit m’attendait.

 

J’entendis la voiture arriver en fin d’après-midi…La porte du garage s’ouvrit :

 

-        Viens ici tout de suite hurla-t-elle

 

Je sortis dans le couloir :

 

-        Rentre la voiture et monte les courses dans ma chambre

-        Bien Madame répondis-je pour lui montrer mon dévouement

 

Je m’exécutais avec zele. Quand je redescendis de sa chambre elle était plante en plein milieu du grand couloir de l’entrée :

 

-        Viens un peu ici ! Ne t’avais-je pas ordonne de ne rien manger en mon absence ?

 

Elle s’approcha de moi.

 

-        Si…

 

Elle me colla une gifle monumentale et à cet instant précis je vis ses yeux briller et je compris qu’elle aimait ça !


02-1.jpg
 

-        Si Madame si cela ne te dérange pas

-        Oui Madame

-        As-tu mange oui ou non ?

-        Non Madame

 

Je reçus une seconde gifle encore plus forte que la première :

 

-        Comment oses-tu mentir ainsi ? Tu as vole une danette et je viens de trouver un paquet de biscuits dans ta chambre. Tu n’es qu’un sale petit merdeux.


pic5.jpg

Elle se mit à me gifler sans s’arrêter. J’essayais de me protéger tout en reculant. Je finis par être coince contre l’escalier. Elle me giflait toujours. Elle m’insultait. Elle était en furie :

 

-        Connasse, grande buse, pisseuse…tu croyais t’en tirer comme ça ? Tu pensais que j’étais une Madame de pacotille. Tu t’es terriblement trompe. Je suis surpris que ma fille qui ne cesse de déblatérer sur mon compte ne t’ait pas dit que j’etais impulsive et violente…mais que par-dessus tout je ne supportais pas qu’on me mente. A genou ou mieux a quatre pattes en me tournant le dos.

 

Mes joues me cuisaient. Elle m’avait presque arrache une oreille. Je n’avais pas du tout envie qu’elle continue. J’étais désormais à 4 pattes. Elle était dans mon dos.

 

-        Ecarte tes jambes !

 

Que me préparait-elle ? Soudain je reçus un violent coup de pied dans les parties et avant même que j’ai le temps de réagir un second qui me coupa le souffle. Je me laissais tomber sur le sol tout en protégeant mon entrejambe :

 

-        Enlève tes mains petite conne et réclame ! Allez ! Assume tes envies espèce de gros pervers.

 

pic2.jpg

Je ne disais rien. Je n’osais plus bouger. Sa colère redoubla. Elle se mit à me donner des coups de pieds dans le ventre, dans la poitrine, dans les cotes en hurlant :

 

-        Enlève tes mains je t’ai dit !

 

Je retirais mes mains et elle m’assena un nouveau coup de pied dans les parties. Je remis mes mains par réflexe.

 

-        Décidément ! Tu mens ! Tu n’obéis pas ! Je crois que tu as besoin d’une bonne leçon !

 

Elle s’engouffra dans le débarras sous l’escalier et en ressortis un ceinturon à la main :

 

-        Enlève ton T-shirt, vite !

 

Je retirais péniblement mon T-shirt encore meurtri par ses coups. Elle se mit alors à me donner des grands coups de ceinturons m’ordonnant de me tourner tantôt sur le dos tantôt sur le ventre. La douleur était indescriptible. Elle frappait très fort et le cuir du ceinturon mordait ma peau. Un de ses coups me frappa au visage, je ne pus m’empêcher de me mettre à pleurer.

 

-        C’est ça pleure petite connasse me lança-t-elle avec un grand sourire !

 

Quand elle s’arrêta enfin visiblement calmée je sanglotais. Elle était allée ranger le ceinturon dans le débarras et en ressortit avec une tong en cuir à la main. Elle s’agenouilla sur ma poitrine et se mit à me gifler avec la semelle de sa tong :

 

-        Mais vas-tu arrêter de couiner comme une femelle effarouchée ! D’un autre cote j’aime ca car ta douleur est visible. Figure toi que cela me motive encore plus !

 

Mes joues me brulait. Son poids sur ma poitrine me faisait mal. Elle se releva enfin.

 

-        Et bien je crois que j’ai toutes les predispositions pour etre une bonne sadique mais je m’en doutais…Ce passage a tabac m’a fait beaucoup de bien…j’oserais meme dire qu’il m’a excite ! Pour un peu je te remercierai !

 

Elle fut interrompue par la sonnerie du telephone. Elle decrocha, me fit signe d’approcher en rampant et m’écrasa sa chaussure sur la figure.


pic4.jpg

-        Allo ? Oui Laura, comment cela se passe-t-il ?

 

Puis en mettant sa main devant le micro :

 

-        Profites-en pour nettoyer mes semelles, cela sera fait.

 

Elle appuya encore plus fort sur ma bouche. Je sortis ma langue qu’elle se mit a utiliser comme un paillasson sans aucun ménagement. Ses semelles étaient sablonneuses !

 

-        Très bien. Profitez-en bien ! Oui tout se passe bien ! Pour cette nuit ? J’y veillerai, tu peux me faire confiance. Sur ce sujet je ne sais pas encore si j’en ai vraiment envie mais je vais y réfléchir crois-moi ! A demain Laura. Embrasse ton père.

 

Elle raccrocha et tout me toisant me dit :

 

-        Laura et Lucien ne rentreront que pour le déjeuner demain. Ils ont rencontre le frère de Lucien à Groix et passe la nuit là-bas. Ta période d’essai se prolonge petit merdeux ! Remets ton T-shirt et file mettre mon couvert dans le salon.

 

Je me relevais. J’avais l’impression d’être passe sous un rouleau compresseur. En tous cas il était clair que je n’avais pas intérêt à désobéir. J’allais vite comprendre que cela n’avait rien à voir et qu’elle aimait se défouler sans raison particulière !

 

Alors que je m’affairais dans la cuisine elle entra. A vrai dire j’étais terrorise ! Elle ouvrit un placard, en sortie un saladier et un entonnoir :

 

-        Suis-moi dit-elle en quittant la cuisine.

 

pic1.jpg

Elle ouvrit la porte des toilettes :

 

-        A genou devant la porte !

 

Elle ferma la porte et la verrouilla. J’entendis le bruit du saladier qu’elle avait visiblement pose dans la cuvette…puis le son mélodieux de son urine…La porte s’ouvrit. Elle tenait le saladier à deux mains :

 

-        Prends l’entonnoir ! Je crois que tu connais le principe ! Dépêche-toi, elle va être froide…et surtout regarde moi dans les yeux.

 

Je la fixais la tête bien relevée. Elle commença à verser le contenu du saladier dans l’entonnoir. Son urine était très amère. Elle versait de plus en plus vite, j’avais du mal à suivre mais je savais qu’il ne fallait pas faillir ! Cela n’en finissait pas !

 

-        La bonne nouvelle c’est que je ne vais pas souvent aux toilettes…La mauvaise nouvelle c’est que mon urine sent très fort !

 

Elle me sourit :

 

-        Et si il y avait eu un étron dans ce saladier ? Qu’aurais-tu fait ?

-        Qu’auriez-vous voulu que je fasse Madame ?

-        L’aurais-tu mange ?

-        Si vous me l’aviez ordonne, oui.

-        Nous verrons cela plus tard. Lorsque je te regarde j’hésite désormais entre fascination et dégoût ! Le saladier sera désormais ta mangeoire, inutile de le laver donc.

 

Elle passa a table et voulut que je lui serve de siège. J’étais à quatre pattes, elle était assise sur mon dos. Elle avait pose le saladier devant moi a ses pieds et elle y vidait ses restes au fur et a mesure de son repas. Quand elle eut termine, elle s’assit dans un fauteuil :

 

-        Viens devant moi à quatre pattes et vide ton saladier comme un chien, sans tes mains ! Cette idée m’amuse terriblement.

 

Ce n’était pas si simple ! En plus ses restes n’étaient pas très apetissant et le saladier sentait très fort. Je m’acquittais pourtant de ma tache assez rapidement. Je dus ensuite débarrasser, ranger et nettoyer !

 

Elle s’était installée devant la télévision et quand je revins de la cuisine, ou tout était impeccable, je dus m’allonger au pied du canapé. Elle portait des mocassins en cuir souple en guise de pantoufles. Ils étaient particulièrement usages. Elle posa ses pieds sur mon visage sans se déchausser. De temps à autre son pied sortait de la chaussure. Je pouvais alors sentir l’odeur enivrante de ses pieds. Je crois qu’elle resta ainsi pendant trois bonnes heures !

 

Quand elle partit se coucher elle me demanda d’apporter mon collier et ma laisse. J’espérais passer une bonne nuit sur la moquette épaisse de sa chambre…mais elle me fit m’allonger sur le dos dans les toilettes du 1er étage et m’attacha au WC ! Elle avait tellement tendu la laisse que je ne pouvais pas bouger. Elle redescendit et revint poser le saladier dans la cuvette des WC…puis elle disparut dans sa chambre !

 

Il m’était difficile de trouver le sommeil. En plus je guettais chaque bruit me doutant bien qu’elle allait finir par me rendre visite. Je finis par m’endormir, épuisé et toujours meurtri par la correction qu’elle m’avait administre.

 

Soudain je fus réveillé par un bruit de porte. Je n’avais pas encore réalise que je reçus un léger coup de pied dans le ventre. Elle alluma.

 

-        Tiens toi prêt latrine ! Ferme les yeux. J’ai déjà du mal à aller aux toilettes en ta présence alors si en plus tu me regardes…

 

J’écoutais le doux bruit de son urine remplissant le saladier. Une fois de plus la source ne se tarissait pas ! Quand elle eut termine, elle me planta l’entonnoir dans le bec et versa le saladier :

 

-        Bois plus vite que je retourne dormir !

 

Elle éteint la lumière et disparut a nouveau. Ma gorge me brûlait, j’étais essouffle d’avoir bu autant et aussi vite. Je finis par m’endormir mais le même cérémonial se reproduit au petit jour ! Cette fois elle ne dit pas un mot puis descendit se faire un café. Je savais qu’elle avait l’habitude de prendre une petite collation puis de lire au lit jusqu'à dix heures du matin.

 

Quand elle vint enfin me libérer ce fut pour m’ordonner de faire le ménage dans sa chambre et dans sa salle de bain. Vers 11h30 je l’entendis m’appeler :

 

-        Ils ne vont pas tarder. Vas prendre une douche et viens mettre la table. Malheureusement tu mettras un couvert pour toi !

-        Bien Madame,

-        N’as-tu rien à me dire ?

-        Non Madame.

 

Elle me gifla a nouveau !

 

dexter1133391028.jpg

-       
Et bien à l’avenir quand je daigne t’utiliser…pense à me dire Merci !

 

Par dogdany
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Lundi 28 décembre 1 28 /12 /Déc 04:49

Cela faisait maintenant plusieurs années que j’avais trouvé ma vraie place aux pieds de Maîtresse Laura. Aux yeux de tous j’étais son mari et le père de ses enfants. En publique nos relations étaient normales même si chacun  pouvait remarquer à quel point je lui étais dévoué et combien elle était humiliante parfois. Un couple comme tant d’autres aux yeux de tous. En privé pourtant j’étais multi-usage devenant selon  ses envies : lécheur de pieds, nettoyeur d’anus, paillasson, larbin, toilette…en un mot sa chose !

 

Maîtresse Laura avait 3 sœurs. Les deux plus jeunes étaient enseignantes. L’aînée était médecin. J’enviais beaucoup le père de Maîtresse Laura entouré de cinq femmes que j’imaginais, sans doute à tort, toutes aussi dominatrice que Maîtresse Laura !

 

Ce jour-là nous passions un week-end chez les parents de Laura au bord de l’océan. Les enfants étaient chez mes parents. Nous venions avec retard célébrer les 60 ans de la mère de Laura. Ils habitaient une belle villa isolée sur le littoral.

 

Le samedi après-midi nous revenions d’une longue marche au bord de la mer. J’entrais dans la maison juste derrière Odile, la mère de Laura. Elle portait des mocassins blancs à talon plat et je pus remarquer lorsqu’elle les quitta la plante jaunâtre de ses pieds mais surtout leur semelle intérieure tout particulièrement crasseuse. Je dois admettre que cette vision était très excitante !

 

Je filais jusqu’à notre chambre. Maîtresse Laura me rejoint et comme de coutume dans ces cas là me demanda de m’allonger torse nu afin de lui servir de paillasson. Elle essuya ses semelles sur mon visage. Soudain elle se pencha et me gifla :

 

-        Tu crois que je ne t’ai pas vu petite merde en train de mater les pieds de Maman ?


 elricnec1185457290.jpg

Je tentais de répondre mais elle m’enfonça son talon plein de sable dans la bouche :

 

-        Ce soir tu iras chercher ses mocassins et tu les nettoieras entièrement avec ta langue.

 

Perspective tout aussi excitante que dégouttante compte tenu de l’état des chaussures en question. La fin d’après-midi fut plus calme. Vers 22h00 tout le monde fila au lit. Maîtresse Laura me rejoint dans la chambre, m’ordonna de me mettre nu, me passa mon collier de chien, emprisonna mes seins avec deux pinces a linge de couleur :

 

-        A présent file dans l’entrée récupérer les chaussures de ma mère dans le placard.

-        Mais Maîtresse je pourrais être surpris par votre père ou votre mère ?

-        Ce n’est pas mon problème. Dépêche toi !

 

womenworshiper1185290583

Ses parents dormaient à l’étage alors que notre chambre était au rez de chaussée. Il n’en reste pas moins que cette expédition était risquée ! J’entendais ses parents discuter en haut de l’escalier. Je revins avec la paire de chaussures blanches.

 

-        A genou. Commence par l’extérieur.

 

Je léchais donc la semelle encore pleine de sable et le cuir de la chaussure dont l’état attestait  d’une longue durée de vie ! Quand elles brillèrent suffisamment, Maîtresse Laura siffla :

 

-        L’intérieur à présent. Je veux que tu récures la semelle et que tu bouffes toute la crasse.

 

Je nettoyais la première chaussure quand quelqu’un frappa à la porte :

 

-        Laura ? interrogea Odile.

 

Je regardais Maîtresse Laura affolé.

 

-        Ne t’arrête pas de lécher souillon dit-elle tout fort. Entre Maman c’est ouvert !

 

Odile entra, referma la porte et me regarda stupéfaite. C’était donc un complot ! J’étais rouge de honte mais très excité. Laura l’invita à s’asseoir sur le lit pour jouir du spectacle :

 

-        Comme je te l’ai dit voici ma petite souillon…Il adore lécher mes pieds, mes chaussures, mon cul, mes culottes et tout ce que je veux bien lui donner…Mais son véritable rêve c’est d’être mes toilettes humaines avec sa bouche et sa langue. Mais cela demande de l’entraînement et je n’y pas consacré assez de temps récemment.

 

Elles me regardaient déguster les énormes paquets de crasse retirés des semelles en grattant avec mes ongles noircis.

 

-        Tout cela est fort intéressant commenta Odile. Ton père propose d’aller naviguer demain car le bulletin météo est meilleur que prévu. Qu’en dis-tu ?

-        Je vais y aller seule avec Papa et la souillon restera ici avec toi. Pourquoi n’en profiterais-tu pas un peu après tout ?

-        Pourquoi pas en effet répondit-elle en m’arrachant des mains ses chaussures blanches à présent impeccables.

-        Viens au pied du lit chien ordonna Laura.

 

Laura accrocha ma laisse au bois du lit sous les yeux incrédules de sa mère. Elle retira sa culotte et la fourra dans ma bouche.

 

-        Je n’aurais pas imaginé cela avoua Odile, mais c’est une excellente surprise a vrai dire de voir un gendre aussi bien dressé !

 

Odile sortit. Vers 6h00 je fus réveillé comme de coutume par l’odeur des pieds de Maîtresse Laura sur mon visage. Elle retira la culotte de ma bouche et s’accroupit sur mon visage :

 

-        Bonjour toilette dit-elle en commençant à uriner.


altijdgedroomd1185100191 


La première urine de la journée est toujours concentrée et très acide. Maîtresse Laura me poussait à la faute en essayant de me prendre de vitesse mais je savais que j’avais intérêt à ne pas en perdre une goutte.

 

-        Je ne sais pas encore ce que Maman va penser de tout cela…et surtout ce qu’elle va exiger de toi mais tu as intérêt à être très obéissant et très coopératif !

 

Elle sortit. Je l’entendis petit-déjeuner avec son père dans la cuisine. Elle monta les escaliers probablement pour discuter avec sa mère. Puis je les entendis partir. La maison était à nouveau silencieuse. Vers 8h00 j’entendis Odile descendre l’escalier et aller dans la cuisine. Je ne savais pas vraiment comment me comporter et je décidais donc de l’éviter afin de retarder au maximum une confrontation forcement gênante ! Je pris une douche après avoir rangé la chambre et je sortis faire un tour.

 

Lorsque je revins en fin de matinée je tombais nez a nez avec Odile. Je remarquais immédiatement ces tongs blanches en cuir qu’elle avait portée tout l’été.

 

-        Bonjour me dit-elle avec un petit sourire,

-        Bonjour Odile, comment allez-vous ce matin ?

-        Très bien. Que dirais-tu de manger vers 11h30 ? Je dois aller en ville en tout début d’après-midi.

-        C’est parfait.

 

J’étais rassuré par son attitude extrêmement normale…Apres tout elle était sans doute plus gênée que moi ! Je vaquais donc à mes occupations bien décidé à profiter du répit que m’offrait l’absence de Laura.

 

A 11h30 précise je fis mon apparition dans la vaste salle a manger et je pris place a table en face d’elle. Je lui souris, j’avais l’impression qu’elle cherchait à me déshabiller du regard et elle me donna raison :

 

-         Mets-toi nu me lança-t-elle ! Son sourire avait disparu.

 

J’avais été un peu trop optimiste…Que pouvais-je répondre ? Elle m’avait vu dans une telle situation que je pouvais difficilement joué les timides ! Je me levais afin de m’exécuter.

 

-        Le boxer aussi ajouta-t-elle,

 

Je retirais ce dernier rempart et elle découvrit ainsi mon sexe entièrement rase, emprisonne dans une cage de chasteté en plastique transparent…et surmonte du mot « poufiasse » écrit au feutre noir ! J’étais particulièrement mal à l’aise. Elle se leva et vint dans mon dos :

 

-        Tu n’as pas autant de marques que ça à vrai dire…Tiens tes fesses et ton anus ne sont pas épilés ? Dommage.

 emby1184344192

Puis me faisant face :

 

-        Tes tétons sont pleins de croûtes…ils ont du souffrir ! Tu as grossi, un bon régime te ferait le plus grand bien. Mais tu as encore moins de marque devant. Et ça c’est quoi demanda-t-elle en montrant du doigt une vieille cicatrice ?

-        Une brûlure répondis-je laconiquement sans oser dire Odile

-        Et bien…Je ne sais pas ce qui a décidé Laura a me révéler ta vraie nature mais c’est un cadeau très original pour mon anniversaire. Il va falloir que je m’habitue a cette situation vraiment nouvelle pour moi mais je te promets que je vais bien m’amuser dit-elle avec un large sourire…

 

Je ne savais pas vraiment comment réagir ! Je devais moi aussi m’habituer à cette « situation vraiment nouvelle » pour reprendre ses termes…

 

-        Compte tenu de ce que j’ai vu hier soir tu comprendras qu’il est hors de question que j’accepte a ma table un pourceau dans ton genre ! Habille-toi et sers moi mon repas.

 

J’avais l’habitude de faire office de larbin et je crois qu’elle fut satisfaite d’être ainsi servie. Lorsqu’elle eut termine son repas elle se leva :

 

-        Tu débarrasses tout, tu fais la vaisselle et le ménage et je t’interdis de manger. C’est clair ?

-        Oui Odile.

-        A partir de maintenant ce sera Madame.

-        Bien Madame.

-        A tout a l’heure larbin !

Par dogdany
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus