Vendredi 1 janvier 5 01 /01 /Jan 05:52

J’étais donc attaché dans le garage…Le dos meurtri par une authentique séance de fouet ! Je n’avais aucune idée de l’heure qu’il pouvait être. Soudain j’entendis une voiture arriver dans la cour. Un bruit de portière, des pas, la porte d’entrée qui s’ouvre…ses pas dans le grand couloir…la clef dans la serrure de la porte de communication avec le garage :

 

-        Tu es déçu hein ? Tu pensais que j’allais revenir avec mon amie et que nous allions jouer tous les 3 ? J’en suis certaine espèce de porc, n’est-ce pas ?

-        Non Madame

-        Tu n’es qu’un sale menteur, tu n’assumes même pas ta perversion…Je vais te mettre cela dans le crâne.

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Je l’entendis reculer et soudain le fouet s’abattit sur moi.

 

-        Je m’entraînerai au maniement du fouet 3 fois par jour…sans compter les punitions dont tu écoperas bien sur ! N’oublie pas de compter à haute et intelligible voie.

 

Oh oui je comptais ! Elle visait plus bas : le bas de mon dos, mes fesses, les cuisses…Quelle douleur…Mais je serrais les dents. Elle s’arrêta à 20 coups et détacha mes mains. Je me laissais tomber sur le sol a genou. Elle me saisit par les cheveux et tout en tenant ma tête me colla une violente paire de gifles :

 

-        Tu es déjà fatigue ? alors que nous n’avons même pas passe une heure ensemble ?

-        Non Madame, juste ankylosé par la position.

-        Elle ne te plait pas cette position…Très bien nous en changerons pour une encore plus inconfortable ! Reste torse nu et suis moi j’ai besoin d’aller aux toilettes.


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Je lui emboîtais le pas, torse nu, tout juste vêtu de mon pantalon rayé de bagnard ! Elle ouvrit la porte des toilettes, me montra du doigt le saladier qu’elle avait utilisé lors de notre premier face a face :

 

-        Tu reconnais ton auge pourceau ? J’ai pense que cela te ferait plaisir de la retrouver ! Allonge-toi sur le sol face contre terre.

 

Elle baissa son pantalon, posa ses pieds sur mon dos encore meurtri et tout en frottant ses semelles sur mes blessures urina bruyamment dans le saladier. Elle se releva et monta sur mon dos de tout son poids pour se rhabiller :

 

-        Redresse-toi, mets-toi a genou, prends le saladier et bois…Terminé l’entonnoir, c’était trop facile ! Exécution…


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Je me mis en position, pris le saladier a 2 mains et le porta a mes lèvres…Effectivement c’était plus dur ! La quantité était impressionnante…Je bus toute son urine jusqu'à la dernière goutte !

 

-        Pas mal ma petite chiotte, pas mal…suis moi.

 

Elle monta l’escalier et entra dans sa chambre :

 

-        Mets toi a quatre pattes, j’ai besoin d’un siège pour lire mes mails et faire quelques courses sur le net.

 

Elle s’assit sur mon dos. Elle portait un jean et le contact avec ma peau zèbre par les coups de fouet était douloureux. Elle le comprit et sans dire un mot se mit à bouger régulièrement en frottant ses fesses sur mon dos. Je finis par gémir :

 

-        Silence tabouret…nous réglerons cela tout à l’heure !


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Elle resta ainsi pendant plus d’une heure. Elle n’était pas spécialement lourde mais je fatiguais ! Elle finit par éteindre son PC et se leva :

 

-        Alors comme cela me servir de siège n’est pas agréable ? Vas-tu comprendre que je ne veux pas t’entendre ? Tu n’es qu’une chose qui ne doit émettre aucun son…Tu n’apprends pas vite mais je suis une éducatrice patiente ! Regarde la moquette.

 

Je vis ses pieds faire le tour pour se place sur mon flanc…et comme je m’y attendais elle m’assena un coup de pied dans l’abdomen. Je fis le maximum pour ne pas manifester ma douleur mais au deuxième coup de pied je ne pus retenir un râle très sonore…

 

-        Très bien je voulais te donner une chance mais tu n’en es pas digne. Ecarte les jambes.

 

Je savais ce que cela signifiait…Je savais aussi qu’elle adorait ça ! Je l’entendis se déplacer et je reçus la pointe de ses mocassins dans les parties, une première fois, puis deux, trois et quatre fois. J’avais contenu mon envie d’hurler.

 

-        C’est mieux…

 

Elle recommença par surprise et je lâchais un cri de douleur en tombant sur le sol.

 

-        Je ne suis pas satisfaite.


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Je l’entendis ouvrir un placard puis je la sentis revenir.

 

-        Mets toi sur le dos et regarde moi dans les yeux

 

Elle tenait une baguette en bambou à la main. Elle s’assit sur mes cuisses et immédiatement se mit à cingler mon torse. Je tentais de me protéger.

 

-        Enlève tes mains ! Si j’ai à te le redire ce sera le fouet et vu l’état de ton dos tu devrais y réfléchir…

 

Je mis mes mains sous mon corps et je serrais les dents comme un fou. Elle se leva. Je crus que le supplice était terminé ! Elle revint presque aussitôt et me fourra une culotte sale dans la bouche :

 

-        Vas-y serre les dents ! Et n’oublie pas de me regarder dans les yeux.

 

Et elle reprit de plus belle. Ses yeux brillaient de puissance. Son visage était illuminé d’une espèce de sourire particulièrement sévère. Il est clair qu’elle prenait son pied. Quand elle cessa de frapper elle resta un instant dans cette position à me fixer comme dans un état second. Puis elle se leva :

 

-        Je vais préparer mon dîner. Tu descends mettre mon couvert et tu m’attends allongé sur le ventre devant la cuisinière. J’arrive.


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Je rejoins la cuisine et suivis ses instructions. Je l’entendis descendre. Elle entra dans la cuisine, sortit des choses du réfrigérateur et monta sur mon dos pour réchauffer son repas. Quand elle descendit de son nouveau paillasson elle m’ordonna de m’allonger sous la table, sur le dos cette fois, et elle passa son repas à frotter durement les marques de bambou avec la semelle de ses mocassins.

 

-        Débarrasse et range tout dit-elle en se levant puis rejoins moi au salon.

 

Je l’entendis allumer la TV. J’étais mort de faim mais il n’y avait aucun reste à chaparder ! Lorsque j’en eus terminé je la rejoins au salon. Elle se leva, retira un de ses mocassins et le posa sur le canapé :

 

-        Allonge toi sur le ventre le nez et la bouche dans ma chaussure. Tu vas adorer, j’en suis certaine mais il te faudra payer le prix !

 

Je posais ma bouche et mon nez dans le mocassin moite. Une odeur fantastique m’envahit les narines. C’était grisant…C’est a peine si je remarquais qu’elle venait de s’asseoir sur ma tête pour mieux m’enfouir dans sa chaussure. Mais le frottement de son jean sur mes coups de fouet me le rappela. Je ne pouvais plus respirer que l’air a l’intérieur de ces chaussures et cela devint vite étouffant ! Je ne pus m’empêcher de sortir ma langue pour découvrir le goût sale du cuir de ses semelles. De temps en temps elle se décalait pour me laisser respirer un peu. Au bout d’un long moment elle changea le mocassin en me donnant celui qu’elle venait de retirer.


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Je l’entendis éteindre la télévision. Elle se leva :

 

-        Mets toi a genou devant moi…c’est l’heure de ton repas ! Tu vas bouffer toute la crasse à l’intérieur de mes chaussures comme je t’ai si bien vu le faire la dernière fois. Celles-ci sont bien plus sales !


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Je léchais l’intérieur pour ramollir les gros paquets de crasse noirâtre, puis les grattait avec l’ongle avant des les manger. Elle me regardait faire sans un mot. Quand je crus avoir bien nettoyer la semelle je lui pressentais. Elle me gifla aussitôt :

 

-        Je ne t’ai rien demande connasse. Continue !

 

Alors je repris mon travail…Enfin elle se leva :

 

-        File dans le garage !

 

Elle me rejoint :

 

-        Allonge toi sur le sol face contre terre à cet endroit dit-elle en désignant la place en face d’un anneau fixe au mur au ras du sol.

 

Elle me lia les 2 mains à cet anneau et s’éloigna. Soudain le fouet se fit entendre et les coups se mirent à pleuvoir ! Un puis deux puis trois…je n’osais pas compter car elle ne me l’avait pas demandé…quatre, cinq, six…Je me tordais comme un ver sur le sol du garage et bien sur je gémissais de plus en plus fort. Apres 10 coups elle s’interrompit :

 

-        As-tu aime mes mocassins petite merde ?

-        Oui Madame,

-        Quelle est ma pointure a ton avis ?

-        37 je crois ?

-        Non 38…alors mets toi a compté grande buse !

 

Et je dus compter les 38 coups de fouet. Plus je me tortillais plus elle semblait frapper fort…Je ne sentais plus mon dos…La lanière du fouet s’enroulait autour de mon corps et venait blesser mes cotes. Elle s’arrêta net et sans un mot quitta le garage en éteignant la lumière. J’avais faim, j’avais mal…Je guettais son retour mais il n’y avait plus de bruit dans la maison et je finis par m’endormir…enfin façon de parler.

 

Soudain je fus réveillé en sursaut par une douleur épouvantable. Elle venait de rentrer dans le garage et sans allumer la lumière m’avait donne un coup de fouet dans le dos. J’avais pousse un tel hurlement qu’elle alluma et se jeta sur moi. Elle me tourna la tête et me donna une paire de gifles :

 

-        Vas-tu arrêter de beugler !

-        Oui Madame

 

Elle détacha mes mains de l’anneau mais les garda attachées entre elles. Je dus me lever et elle me tira vers l’étage. Elle ouvrit la porte des WC sans allumer la lumière et me fit mettre a genou en lui tournant le dos. J’entendis le flot d’urine interminable dans le saladier. Elle tira la corde et m’attacha au WC a genou devant le saladier :

 

-        Tu te débrouilles comme tu veux mais il doit être vide demain matin…Tu n’as qu’a laper petite chienne !

 

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Elle sortit en éteignant la lumière. Je me mis donc à boire dans le saladier. Au début cela fut facile mais a la fin il me fallait aspirer du bout des lèvres sans parler du fait que son urine extrêmement amère était désormais froide…Je ne parvins pas a m’endormir. La position était beaucoup trop inconfortable. Ma tête était posée sur le bord de la cuve

 

Peu après l’aube je l’entendis descendre les escaliers. Visiblement elle prenait son petit déjeuner dans la cuisine. J’étais épuisé, j’avais mal partout, j’avais faim et terriblement envie d’uriner ! Ses pas résonnèrent dans l’escalier, elle ouvrit la porte et sans un mot me détacha…je redressais la tête et elle se tourna vers moi pour me coller une violente paire de gifles :

 

-        Et la politesse ? Tu ne me dis pas bonjour ?

-        Désole Madame, je ne savais pas…je fus interrompu par une nouvelle paire de gifles

-        Tu ne savais pas qu’il fallait être poli avec moi ? Allez suis-moi.

 

Elle me conduisit au garage et m’attacha avec un collier et une laisse au mur. Puis elle libera mes mains. J’eus même le droit de m’asseoir !

 

-        Je t’apporte ton petit déjeuner dit-elle avec le sourire

 

Enfin une pause ? Je n’osais y croire. Je fus surpris de l’entendre remonter l’escalier mais j’attendais. Au bout de quelques minutes elle redescendit et revint dans le garage le saladier à la main. Elle le posa devant moi sur le sol :

 

-        Voila ton repas ! Mange !

 

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Dans le saladier il y a avait 3 tranches de pain flottant dans l’urine et surtout 2 entrons de bonne taille. Je pris le saladier à 2 mains et bus l’urine. Elle ne me quittait pas des yeux. Elle s’approcha et j’eus un geste défensif pour protéger mon visage imaginant qu’elle allait me gifler. Elle rit aux éclats et me tendit une cuillère a soupe. En silence mais avec des hauts de le cœur je dégustais ses 2 entrons puis je finis par le pain imbibe d’urine.

 

-        Bien dit-elle mais tu es vraiment un immonde cochon !

-        Madame ?

-        Oui ?

-        Je dois absolument uriner.

-        D’accord dit-elle en poussant le saladier avec son pied. Mets toi a 4 pattes et urine dans le saladier comme une chienne. Naturellement je ne t’enlève pas ta cage.

 

Je baissai mon pantalon et pissais à 4 pattes tant bien que mal. Je remplis le saladier ! Quel soulagement !

 

-        Pousse toi ordonna-t-elle et colle toi contre le mur

 

Elle ramassa le saladier et m’aspergea de son contenu encore tiède puis elle attrapa le tuyau d’arrosage pour me doucher comme elle l’avait fait la veille :

 

-        Cela t’apprendra à faire la fine bouche quand je te donne à manger et puis de toute facon c’était l’heure de ta douche connasse !


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La deuxième journée de stage commençait…

Par dogdany
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