Mardi 29 décembre 2 29 /12 /Déc 13:07

 

 

 

Odile quitta la maison en voiture me laissant tout à la fois fort embarrassé par cette situation mais, je l’avoue, terriblement excité. Quel soumis n’a jamais rêvé de servir la mère et la fille ?

 

Comme elle me l’avait ordonne, je débarrassais, rangeais et nettoyais la cuisine. La connaissant je savais qu’elle ne manquerait pas de faire une inspection approfondie en rentrant ! Elle m’avait interdit de manger et pourtant qu’est-ce que j’avais faim ! J’ouvris le frigo et pris une danette ne pouvant imaginer qu’elle les avait comptées ! Je pris soin de cacher le pot vide dans la poubelle extérieure puis je rejoins ma chambre ou un paquet de biscuit m’attendait.

 

J’entendis la voiture arriver en fin d’après-midi…La porte du garage s’ouvrit :

 

-        Viens ici tout de suite hurla-t-elle

 

Je sortis dans le couloir :

 

-        Rentre la voiture et monte les courses dans ma chambre

-        Bien Madame répondis-je pour lui montrer mon dévouement

 

Je m’exécutais avec zele. Quand je redescendis de sa chambre elle était plante en plein milieu du grand couloir de l’entrée :

 

-        Viens un peu ici ! Ne t’avais-je pas ordonne de ne rien manger en mon absence ?

 

Elle s’approcha de moi.

 

-        Si…

 

Elle me colla une gifle monumentale et à cet instant précis je vis ses yeux briller et je compris qu’elle aimait ça !


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-        Si Madame si cela ne te dérange pas

-        Oui Madame

-        As-tu mange oui ou non ?

-        Non Madame

 

Je reçus une seconde gifle encore plus forte que la première :

 

-        Comment oses-tu mentir ainsi ? Tu as vole une danette et je viens de trouver un paquet de biscuits dans ta chambre. Tu n’es qu’un sale petit merdeux.


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Elle se mit à me gifler sans s’arrêter. J’essayais de me protéger tout en reculant. Je finis par être coince contre l’escalier. Elle me giflait toujours. Elle m’insultait. Elle était en furie :

 

-        Connasse, grande buse, pisseuse…tu croyais t’en tirer comme ça ? Tu pensais que j’étais une Madame de pacotille. Tu t’es terriblement trompe. Je suis surpris que ma fille qui ne cesse de déblatérer sur mon compte ne t’ait pas dit que j’etais impulsive et violente…mais que par-dessus tout je ne supportais pas qu’on me mente. A genou ou mieux a quatre pattes en me tournant le dos.

 

Mes joues me cuisaient. Elle m’avait presque arrache une oreille. Je n’avais pas du tout envie qu’elle continue. J’étais désormais à 4 pattes. Elle était dans mon dos.

 

-        Ecarte tes jambes !

 

Que me préparait-elle ? Soudain je reçus un violent coup de pied dans les parties et avant même que j’ai le temps de réagir un second qui me coupa le souffle. Je me laissais tomber sur le sol tout en protégeant mon entrejambe :

 

-        Enlève tes mains petite conne et réclame ! Allez ! Assume tes envies espèce de gros pervers.

 

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Je ne disais rien. Je n’osais plus bouger. Sa colère redoubla. Elle se mit à me donner des coups de pieds dans le ventre, dans la poitrine, dans les cotes en hurlant :

 

-        Enlève tes mains je t’ai dit !

 

Je retirais mes mains et elle m’assena un nouveau coup de pied dans les parties. Je remis mes mains par réflexe.

 

-        Décidément ! Tu mens ! Tu n’obéis pas ! Je crois que tu as besoin d’une bonne leçon !

 

Elle s’engouffra dans le débarras sous l’escalier et en ressortis un ceinturon à la main :

 

-        Enlève ton T-shirt, vite !

 

Je retirais péniblement mon T-shirt encore meurtri par ses coups. Elle se mit alors à me donner des grands coups de ceinturons m’ordonnant de me tourner tantôt sur le dos tantôt sur le ventre. La douleur était indescriptible. Elle frappait très fort et le cuir du ceinturon mordait ma peau. Un de ses coups me frappa au visage, je ne pus m’empêcher de me mettre à pleurer.

 

-        C’est ça pleure petite connasse me lança-t-elle avec un grand sourire !

 

Quand elle s’arrêta enfin visiblement calmée je sanglotais. Elle était allée ranger le ceinturon dans le débarras et en ressortit avec une tong en cuir à la main. Elle s’agenouilla sur ma poitrine et se mit à me gifler avec la semelle de sa tong :

 

-        Mais vas-tu arrêter de couiner comme une femelle effarouchée ! D’un autre cote j’aime ca car ta douleur est visible. Figure toi que cela me motive encore plus !

 

Mes joues me brulait. Son poids sur ma poitrine me faisait mal. Elle se releva enfin.

 

-        Et bien je crois que j’ai toutes les predispositions pour etre une bonne sadique mais je m’en doutais…Ce passage a tabac m’a fait beaucoup de bien…j’oserais meme dire qu’il m’a excite ! Pour un peu je te remercierai !

 

Elle fut interrompue par la sonnerie du telephone. Elle decrocha, me fit signe d’approcher en rampant et m’écrasa sa chaussure sur la figure.


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-        Allo ? Oui Laura, comment cela se passe-t-il ?

 

Puis en mettant sa main devant le micro :

 

-        Profites-en pour nettoyer mes semelles, cela sera fait.

 

Elle appuya encore plus fort sur ma bouche. Je sortis ma langue qu’elle se mit a utiliser comme un paillasson sans aucun ménagement. Ses semelles étaient sablonneuses !

 

-        Très bien. Profitez-en bien ! Oui tout se passe bien ! Pour cette nuit ? J’y veillerai, tu peux me faire confiance. Sur ce sujet je ne sais pas encore si j’en ai vraiment envie mais je vais y réfléchir crois-moi ! A demain Laura. Embrasse ton père.

 

Elle raccrocha et tout me toisant me dit :

 

-        Laura et Lucien ne rentreront que pour le déjeuner demain. Ils ont rencontre le frère de Lucien à Groix et passe la nuit là-bas. Ta période d’essai se prolonge petit merdeux ! Remets ton T-shirt et file mettre mon couvert dans le salon.

 

Je me relevais. J’avais l’impression d’être passe sous un rouleau compresseur. En tous cas il était clair que je n’avais pas intérêt à désobéir. J’allais vite comprendre que cela n’avait rien à voir et qu’elle aimait se défouler sans raison particulière !

 

Alors que je m’affairais dans la cuisine elle entra. A vrai dire j’étais terrorise ! Elle ouvrit un placard, en sortie un saladier et un entonnoir :

 

-        Suis-moi dit-elle en quittant la cuisine.

 

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Elle ouvrit la porte des toilettes :

 

-        A genou devant la porte !

 

Elle ferma la porte et la verrouilla. J’entendis le bruit du saladier qu’elle avait visiblement pose dans la cuvette…puis le son mélodieux de son urine…La porte s’ouvrit. Elle tenait le saladier à deux mains :

 

-        Prends l’entonnoir ! Je crois que tu connais le principe ! Dépêche-toi, elle va être froide…et surtout regarde moi dans les yeux.

 

Je la fixais la tête bien relevée. Elle commença à verser le contenu du saladier dans l’entonnoir. Son urine était très amère. Elle versait de plus en plus vite, j’avais du mal à suivre mais je savais qu’il ne fallait pas faillir ! Cela n’en finissait pas !

 

-        La bonne nouvelle c’est que je ne vais pas souvent aux toilettes…La mauvaise nouvelle c’est que mon urine sent très fort !

 

Elle me sourit :

 

-        Et si il y avait eu un étron dans ce saladier ? Qu’aurais-tu fait ?

-        Qu’auriez-vous voulu que je fasse Madame ?

-        L’aurais-tu mange ?

-        Si vous me l’aviez ordonne, oui.

-        Nous verrons cela plus tard. Lorsque je te regarde j’hésite désormais entre fascination et dégoût ! Le saladier sera désormais ta mangeoire, inutile de le laver donc.

 

Elle passa a table et voulut que je lui serve de siège. J’étais à quatre pattes, elle était assise sur mon dos. Elle avait pose le saladier devant moi a ses pieds et elle y vidait ses restes au fur et a mesure de son repas. Quand elle eut termine, elle s’assit dans un fauteuil :

 

-        Viens devant moi à quatre pattes et vide ton saladier comme un chien, sans tes mains ! Cette idée m’amuse terriblement.

 

Ce n’était pas si simple ! En plus ses restes n’étaient pas très apetissant et le saladier sentait très fort. Je m’acquittais pourtant de ma tache assez rapidement. Je dus ensuite débarrasser, ranger et nettoyer !

 

Elle s’était installée devant la télévision et quand je revins de la cuisine, ou tout était impeccable, je dus m’allonger au pied du canapé. Elle portait des mocassins en cuir souple en guise de pantoufles. Ils étaient particulièrement usages. Elle posa ses pieds sur mon visage sans se déchausser. De temps à autre son pied sortait de la chaussure. Je pouvais alors sentir l’odeur enivrante de ses pieds. Je crois qu’elle resta ainsi pendant trois bonnes heures !

 

Quand elle partit se coucher elle me demanda d’apporter mon collier et ma laisse. J’espérais passer une bonne nuit sur la moquette épaisse de sa chambre…mais elle me fit m’allonger sur le dos dans les toilettes du 1er étage et m’attacha au WC ! Elle avait tellement tendu la laisse que je ne pouvais pas bouger. Elle redescendit et revint poser le saladier dans la cuvette des WC…puis elle disparut dans sa chambre !

 

Il m’était difficile de trouver le sommeil. En plus je guettais chaque bruit me doutant bien qu’elle allait finir par me rendre visite. Je finis par m’endormir, épuisé et toujours meurtri par la correction qu’elle m’avait administre.

 

Soudain je fus réveillé par un bruit de porte. Je n’avais pas encore réalise que je reçus un léger coup de pied dans le ventre. Elle alluma.

 

-        Tiens toi prêt latrine ! Ferme les yeux. J’ai déjà du mal à aller aux toilettes en ta présence alors si en plus tu me regardes…

 

J’écoutais le doux bruit de son urine remplissant le saladier. Une fois de plus la source ne se tarissait pas ! Quand elle eut termine, elle me planta l’entonnoir dans le bec et versa le saladier :

 

-        Bois plus vite que je retourne dormir !

 

Elle éteint la lumière et disparut a nouveau. Ma gorge me brûlait, j’étais essouffle d’avoir bu autant et aussi vite. Je finis par m’endormir mais le même cérémonial se reproduit au petit jour ! Cette fois elle ne dit pas un mot puis descendit se faire un café. Je savais qu’elle avait l’habitude de prendre une petite collation puis de lire au lit jusqu'à dix heures du matin.

 

Quand elle vint enfin me libérer ce fut pour m’ordonner de faire le ménage dans sa chambre et dans sa salle de bain. Vers 11h30 je l’entendis m’appeler :

 

-        Ils ne vont pas tarder. Vas prendre une douche et viens mettre la table. Malheureusement tu mettras un couvert pour toi !

-        Bien Madame,

-        N’as-tu rien à me dire ?

-        Non Madame.

 

Elle me gifla a nouveau !

 

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-       
Et bien à l’avenir quand je daigne t’utiliser…pense à me dire Merci !

 

Par dogdany
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